Déborah Ann-Lynn Cass

Bonjour à tous, je me nomme Déborah Ann-Lynn Cass , comme vous pouvez le voir je suis originaire d' Australie . J'ai 20 ans en effet je suis né(e) le 21 Mars à Melbourne . Je suis tellement adorable que je suis Célibataire . Dans la vie, je m'amuse mais aussi je travaille en effet je suis Pianiste et Chanteuse Je me plais sur cette île, ou du moins j'en donne l'impression. Cela fait 5 ans que je suis à Efaté c'est pour ça que je suis du groupe every teardrop is a waterfall . Ah et bien entendu j'ai un air de ressemblance avec Frida Gustavsson

Ma vie, toute une histoire

PARTIE HISTOIRE. Pourquoi mon esprit me torture-t-il avec lui ? Celui que je ne reverrais jamais… Alors pourquoi ? Il vit toujours à Melbourne, cela fait trois ans que je suis à Efaté, alors pourquoi ? Pourquoi ne puis-je pas l’oublier et faire ma vie avec un autre ? Beaucoup me diront que c’est parce que je suis toujours amoureuse de lui. Mais ce n’était qu’un amour de jeunesse, ce n’est pas possible. J’avais quinze ans, il en avait seize. C’était mon premier amour. Et je pense que ça l’ait toujours mais non, ça n’a plus d’importance. Parce que nous sommes loin l’un de l’autre, maintenant. Les lettres qu’on s’envoie me font du bien, je l’avoue mais j’essaie, en vain malheureusement, de réduire le nombre de lettres que je lui envois. Et pourtant à chaque fois je craque. Suis-je donc condamner à penser à lui ? Tous les jours, toutes les nuits ? Apparemment…
J’ai tout essayé pour l’effacer. Tout. Même l’hypnose. Rien n’a fonctionné, ni l’alcool, ni les conquêtes d’un soir. A chaque fois je revois son visage. Un visage d’adolescent. Car je ne peux l’imaginer en homme. C’est trop difficile. Néanmoins, je vis. Ou plutôt je survis. J’ai déjà pensé à mettre fin à mes jours mais… Je ne peux pas. Parce qu’il y a Zelda, Démétra et Hélios. Mes deux petites sœurs et mon frère. Et aussi Lullaby, ma petite fille de cinq ans... Pour eux, je serai incapable de me donner la mort. Adolescente, j’étais une fille calme et posée. Je ne faisais rien sans réfléchir aux conséquences de mes actes, je tenais toujours à rendre mes parents fiers de moi. En ayant des bons résultats en cours, par exemple. Je ne voulais que les rendre heureux. C’est certainement ça qui a dû l’attirer chez moi. J’étais amoureuse et bien plus que ça. Il était l’homme de ma vie. Puis tout s’était écroulé : Mon père venait de m'annoncer que nous déménagions à Efaté. Et je devais partir avec eux. Je n’avais pas le choix, et c’est là que mon cauchemar a commencé…
Maintenant, je suis une jeune femme indépendante et indomptable. Si on me cherche, on me trouve. Oh, bien sûr, des coups d’un soir de temps en temps ça passe. Mais c’est lorsque je suis vraiment mal. Non, je ne fume pas, je ne me drogue pas non plus. Même si je ne suis pas au meilleur de ma forme, je ne sombre pas dans toutes ces drogues, ces dépendances qui en ont tué plus d’un. Je ne veux pas. Alors je me réfugie dans le chant et la mélodie de mon piano. Je passe énormément de temps à jouer, cela plait à ma fille. Mais je suis très difficile avec moi-même. Ma mélodie doit être parfaite, quitte à rester des heures pour la réussir. Je veux à tout prix réussir. Alors je réussirai… Et peut-être qu’un jour, il arrêtera de me hanter…

•••

« Maman pourquoi ton ventre, il est tout gonflé ? » Heureusement, je n’avais que quatre ans lorsque j’avais posé cette question à ma mère. D’ailleurs, elle avait éclaté de rire, comme si je venais de dire la meilleure des blagues. Ce qui n’était pas le cas, bien entendu. Mais bon, je n’avais quatre ans, je ne savais pas vraiment ce que je disais. « Parce qu’il y a ton petit frère dedans, ma chérie. » M’avait-elle répondu, son fou rire passé. Sauf que moi je n’avais compris. Comment mon petit frère pouvait-il être dans son ventre ? Pourquoi y était-il ? Et surtout… « Pourquoi tu l’as mangé, maman ? » Nouveau fou-rire de la part de ma mère. Elle me prit alors sur ses genoux et passa plus de deux heures à m’expliquer que mon petit frère vivait dans son ventre parce qu’il n’était pas encore assez fort pour vivre avec nous. Cependant, j’étais très heureuse d’avoir un petit frère bientôt. Et même qu’il s’appellerait Hélios. C’était moi qui avais choisi le prénom dans la liste que ma mère m’avait donné. Quelques semaines plus tard, ma mère donnait naissance à Hélios tandis que j’endossai malgré mon jeune âge mon rôle de grande sœur. Parce que maintenant c’est ce que j’étais. Quelques années plus tard, Démétra et Zelda venaient au monde. De vraies jumelles. Toujours fourrées ensembles ces deux-là. En plus, elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Heureusement, plus maintenant sinon ce serait la catastrophe.

« Declan ? Qu’est-ce que tu fous ?! » Mais qu’est-ce qu’il lui prenait ? J’avais quatorze ans, lui quinze et c’était mon meilleur ami. Depuis toujours. Même si depuis peu, je le considérais comme un peu plus qu’un meilleur ami. Là, je ne le comprenais plus. Mon cours de français venait de se terminer. J’étais à peine sortie du cours que Declan m’attendait. La cloche venait de sonner, comment avait-il fait ? Il m’avait pris par la main et m’avait emmenée à l’écart de tous les autres. Il me plaqua, doucement mais tout de même, contre un mur et plaça ses mains de chaque côté de mon visage. Jamais il n’avait agi comme ça avec moi. Il était bizarre depuis ce matin. Mais j’avais mis ça sur le compte de la fête à laquelle on était tous les deux allés la veille. Apparemment je m’étais trompé. Son regard croisa le mien et je décelai quelque chose que je ne pouvais pas nommer dans ses yeux. « Ann-Lynn… » J’attendis une suite qui ne vient pas. Alors j’essayai de me dégager. « Dec’ faut que j’aille en cours, là. Si t’as pas remarqué ça a sonné depuis trois minutes ! » Et je sentais mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Une chance si lui ne l’entendait pas. Seulement, il n’avait pas l’air décidé à me laisser aller en cours. Une de ses mains vint se poser sur ma joue et il approcha son visage du mien. « Je t’aime. » Et il posa ses lèvres sur les miennes. J’étais aux anges. Alors lui aussi ressentait autre chose que de l’amitié pour moi. Je répondis à son baiser tendrement. « Et tu sais quoi ? Je t’aime aussi… »

Un an plus tard, nous étions toujours ensemble. Et nous étions heureux. Je pensais réellement qu’il était l’homme de ma vie. Pour moi, ça ne pouvait être autrement. Jusqu’au jour où mon père m’annonça qu’on devait aller habiter à Efaté/ Mais je n’y avais pas cru au début. Je ne voulais pas partir. Parce que cela faisait un an que je sortais avec Declan et que je ne voulais pas quitter parce que ça me briserait le cœur. Alors la veille de mon départ, il était chez moi. Pour m’aider à finir mes bagages. Seulement, il alluma la chaîne Hi-Fi et se tourna vers moi en me tendant la main « Je voulais danser avec toi au bal de fin d’année mais… » Il fit une pause pour une raison qui m’est encore inconnue « Accepterais-tu une danse ? » J’étais plus qu’étonnée, je ne m’attendais vraiment pas à ça. « Bien sûr. » Il sourit et son sourire se propagea jusqu’à moi. Je souris à mon tour, il me prit contre lui et on commença à danser, lentement, serrés l’un contre l’autre. C’était la première et la dernière fois que je dansais avec lui. Il allait terriblement me manquer et je ne pouvais pas partir sans lui offrir quelque chose pour qu’il se rappelle toujours de moi. Alors je stoppai la danse et commença à défaire sa chemise. « Lynn, es-tu sûre que c’est ce que tu veux ? Tu vas bientôt partir et… » Je le coupai. Je savais exactement ce que je voulais. Lui. « Oui, je suis certaine. » Et cette nuit-là, je lui offris ma virginité. Le plus beau cadeau qu’une fille peut faire à un garçon, c’est celui-là.


Maintenant, ça fait cinq ans mais je suis toujours hantée par Declan. Nous nous écrivons mais ce n’est pas la même chose. En tout cas, de mon côté mes sentiments envers lui n’ont pas changés. Lui je ne sais pas. Alors j’essaye de me résoudre au fait que ça ne marchera jamais entre nous. Car je ne retournerais jamais à Melbourne et lui ne viendra jamais à Efaté. Et qu'il n'est pas au courant pour Lullaby, notre petite fille...

Entre toi et moi

ET VOUS? Hey ♥ Moi c'est Audrey, j'ai 15 ans et je suis Belge. Que ceux qui ont des problèmes avec les Belges ne viennent pas ici, s'il vous plait. xD Bon, je déconnais hein. Mais je suis vraiment belge ! Seulement là, je ne sais pas si je saurais me connecter avant le 27 Juin, voir même un peu plus tard. On verra bien ^^'

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