Mary Lou Brennan

Bonjour à tous, moi c'est Mary pour Antoinette, Lou en référence à Apollinaire, Brennan pour mon père, comme vous pouvez le voir je suis originaire de Tulsa. J'ai 25 ans en effet je suis né(e) le 14 février 1987. Dans la vie, je m'amuse mais aussi je travaille en effet je suisancienne journaliste, auteure Je me plais sur cette île, ou du moins j'en donne l'impression. Cela fait un an que je suis à Vanatu c'est pour ça que je suis du groupe every teardrop is a waterfall. Ah et bien entendu mon avatar est Kaya Scodelario

Ma vie, toute une histoire

Lumière bleue de février sur tes larmes de cire
Figée devant le brasier, nu-pieds dans le givre
Tu prieras pour que toutes mes veines se rallument encore
Tu pourras dire que je t'aime, que je t'aime à mort.

On avait quoi ? Neuf ans ? Et on courrait, souriant à la vie, au soleil, à notre petit amour. Idyllique. On était jeunes, naïves, les lèvres étirées par le bonheur, des rires, des petits jeux, et pourquoi pas des disputes. Puis un lendemain, de nouveau de l’amour, Morphée ayant balayé toute trace de conflit dans notre petit cœur. Je serrais tes petites mains, tu tirais mes petites joues, tout était petit dans notre monde. Petites boites petits jeux petites colères petites réconciliations, petit amour.

Puis on a grandi. Tout s’est effrité, on a tout voulu étirer avec nous pour le modeler à notre manière. J’ai commencé à lire, à dévorer cet encre salé, petite égoïste qui ne voulait plus partager ses impressions. Toi, au contraire, tu sortais, tu avais beaucoup plus d’amis, plus de vie, plus de sentiments. Ton excentricité me touchait, j’aimais te regarder bouger, te regarder sourire, plonger un peu dans tes yeux, me noyer un peu sous tes mots, et pourquoi pas caresser ta délicieuse joue de porcelaine.

Tout restait beau, c’était fragile, mais c’était beau.

Tu étais belle. Tu l’es toujours. Tu le seras, toujours. Avec ces yeux sinoples, ces cheveux de blés, ce teint de neige, ce frêle sourire. Tout était beau. Même les soirs où tes larmes coulaient, ta beauté resplendissait alors dans le pathétique de ta vie qui s’écrasait en larmes sur mon parquet anthracite. On partageait tout ça. Tu pleurais, mon âme avec toi, déposant un doux baiser sur ta joue, ton cou, parfois, tes lèvres.

Tes lèvres.

Tu me les offrais. Je n’avais pas eu besoin de m’arracher des lèvres un « je t’aime » pour que tu le comprennes. Tu étais bien intelligente, moins gauche que moi, plus parfaite. Ta perfection était telle que je voyais en tes défauts un motif de plus pour t’aimer. Ton nez un peu trop petit l’était simplement pour marquer un peu plus la présence de mademoiselle malice sur ton visage.

U.C

Entre toi et moi

prénom/pseudo: WHITE. âge: Seize ans ouaisouais. pays: Ô France. où as-tu découvert le forum? Partenariat, je sais plus qui. fréquence de connexion: Presque tous les jours. Autres?

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