Constance Helen Red-Burrow

Bonjour à tous, moi c'est Constance H. Red-Burrow, comme vous pouvez le voir je suis originaire de Vanatu. J'ai 26 ans ans en effet je suis né(e) le 17 mars. Dans la vie, je m'amuse mais aussi je travaille en effet je suis vendeuse. Je me plais sur cette île, ou du moins j'en donne l'impression. Cela fait 26 années que je suis à Vanatu c'est pour ça que je suis du groupe beautiful world Ah et bien entendu mon avatar est Melanie Thierry

Ma vie, toute une histoire

PARTIE HISTOIRE.

« Attention, ouvrez les yeux… Tadaaaaam. Alors ? » Ma sœur jumelle, et mon frère découvraient alors mon nouveau bijoux ; ma toute première moto. J’avais vingt-et-un ans, et j’avais toujours rêvé d’avoir une moto un jour, mais tout le monde l’ignorait à part Roxanne, ma jumelle, j’avais passé mon permis dans le dos de mes parents et mon frère, je savais qu’ils ne seraient pas vraiment pour alors j’avais préféré les mettre devant le fait accompli. J’ai toujours tout dis, tout raconté à ma sœur Roxanne, nous sommes identiques comme deux gouttes d’eau, mais avec des caractères qui diffèrent quelque peu. Et, malgré nos prises de tête je sais que je pourrais toujours compter sur elle, elle est peut-être ma sœur, mais également mon amie, ma confidente. « Une moto ? Mais… C’est pour les mecs. » « Olalala c’est quoi ce mec fermé ? Nous sommes au 21ème siècle Monsieur Red-Burrow ! Il faut commencer à évoluer. » Mon frère ne semblait pas emballé par cette idée, mais je m’en doutais bien, fort heureusement je savais que je pouvais toujours compter sur ma jumelle. Lorsque j’avais annoncé à ma famille que je voulais devenir pompier, ils étaient contents mais tout de même un peu inquiet, mais Roxanne avait su me pousser à bout pour que je puisse réaliser mon rêve. « Moi je trouve qu’elle claque, c’est la classe une moto. » « Ah ! Enfin quelqu’un de censé et non fermé. » « ça ne m’étonne pas, vous êtes dingues. De toute manière il faut un permis pour conduire ça, Constance. » J’avais acquiescé un sourire. Je sortais de la poche de ma veste mon permis moto devant le regard surpris de mon frère. « Et ça alors c’est quoi ? Je te rassure je ne l’ai pas trouvé par terre. » « Bon bah tu m’emmènes faire un tour ? » « Bien sur, grimpe Roxy ! » « Soyez prudentes ! » « Oui Monsieur le rabajoi ! »



J’ouvrais doucement les yeux, la lumière m’éblouissait, c’est pourquoi je gardais les yeux légèrement plissés. Qu’est ce que c’était que tous ces bruits ? A peine j’avais bougé que je ressentais d’atroces douleurs. Après plusieurs minutes à retrouver mes esprits, je comprenais enfin où j’étais. Qu’est ce que je faisais à l’hôpital ? C’est alors que le choc me revint à l’esprit. Je rentrais de soirée avec Roxanne, et sur le trajet qui nous séparait de la maison. Ce soir là, je n’étais pas de garde à la caserne, du coup, nous avions décidé de sortir entre sœurs. Mais ma tête semblait vide, silence radio, le choc avait certainement dû me faire perdre conscience, je ne me souvenais pas ce qui s’était passé. Un visage connu arriva jusqu’à moi, celui de mon frère ainé. Une question me brûlait les lèvres. « Roxane, elle est où ? » Mon frère ne prononçait pas un seul mot. C’est à travers ses larmes que j’avais compris. Ma sœur, ma jumelle, ma moitié, m’avait quitté, et j’étais responsable, tout était entièrement de ma faute, pourquoi était-elle partie et pas moi ? Après tout c’était moi qui conduisait, moi, et pas elle… Bien que je n’étais en rien responsable de l’accident, à mes yeux j’étais l’unique responsable, elle était morte par ma faute, et je devrais vivre avec ça toute ma vie. C’était un poids lourd qui nous avait percutées en grillant un feu rouge... Un putain de poids lourd qui venait de gâcher ma vie… J’avais vingt-quatre ans et ma vie était finie, gâchée…



« Tu fais des progrès. » « Ouais ouais super… » « Constance… » « Quoi Constance ? Je marche avec des béquilles et en cinq minutes je suis déjà crevée, mais à part ça je fais des progrès ? » « Sois patiente, tu ne vas pas galoper tout de suite… » Je soupirais longuement. La patience n’avait jamais fais partie de mes qualités premières, j’ai toujours été fonceuse, à vouloir tout, vite. Depuis la mort de Roxanne, j’étais vraiment détestable, j’avais tué ma sœur et je n’arrivais pas à aller de l’avant. De plus, j’avais peut-être survécu à l’accident, mais j’avais tout de même été bien atteinte. Mes jambes s’étaient retrouvées dans un sale état, j’avais eu de nombreuses fractures, et j’ai été bloquée un long moment sur un fauteuil roulant en attendant que tout revienne en place avant de commencer la rééducation. Mes collègues, ma famille, me soutenaient dans cette épreuve, mais ils avaient beau me réconforter, jamais ils ne me comprendraient, j’avais perdu ma jumelle. Je n’arrivais même plus à me regarder dans la glace sans fondre en larme. C’est elle que je voyais dans mon reflet. Ma vie a totalement changée suite à son décès, j’ai quitté la caserne, mon corps ne suivait plus. Je ne voulais plus sortir pendant une période, n’adressant la parole à très peu de gens. Forçant de sourire et de faire belle figure, bien que ça n’allait pas, ça n’allait pas du tout.



« NON. » « Arrête de faire la gamine, et monte ! » « D’abord, Twain t’es pas mon père, t’es ni mon frère et.... » Je titubais, en m’éloignant de la voiture de Twain, mon meilleur ami que je connais depuis des années maintenant. J’avais encore été sortir, et comme d’habitude j’avais bu comme un trou. Je voulais oublier, oublier cette peine, cette douleur, mais je n’y parvenais pas. Pourtant, ça ne m’empêchait de recommencer, et de faire toutes les conneries possibles. Je sentais la main de Twain attraper la mienne pour m’amener à sa voiture. « Lâche-moi abruti. » Je n’ai jamais eu ma langue dans ma poche, et la perte de ma sœur n’a rien arrangé. Je sais que je suis bien souvent infecte avec lui, je calme mes nerfs sur son petit dos, et pourtant il ne me laisse pas tomber. « Très bien je t’aurais prévenu. » A peine quelques secondes après je me retrouvais tête en bas, portée par le jeune homme, avant d’atterrir dans sa voiture. « Et puis j’te déteste… » Je pense lui dire ça tous les jours, pourtant à chaque fois que je prononce cette phrase, je lui mens. Au contraire, je l’apprécie énormément, en fait c’est même bien plus que ça. Je lui en fais voir de toutes les couleurs, mais c’est plus fort que moi. Il ne m’a jamais rendu responsable de la mort de Roxanne. En dix minutes, j’étais de retour chez moi, posée sur mon lit. Alors qu’il allait partir, c’était à mon tour de lui attraper la main. « Reste… » Il n’y avait pas de s’il te plait à la suite de ma demande, mais à ma voix, il pouvait largement le deviner, je ne voulais pas qu’il me laisse seule. « D’accord. » Soulagée de sa réponse, je me décalais pour lui laisser de la place à mes côtés, m’endormant dans ces bras en quelques minutes. Bien que je ne lui demande rien, il me sort toujours des situations les plus critiques, je ne veux pas inquiéter Niels, alors c’est toujours Twain qui s’occupe de ça.

.

Entre toi et moi

prénom/pseudo: Caro âge: >20 pays: France. où as-tu découvert le forum? en navigant sur le net. fréquence de connexion: 4/7 Autres?

Bienvenue parmi nous