ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson.
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 9:13
astrid-briséïs de bazaux
Bonjour à tous, je me nomme Astrid-Briséïs De Bazaux, comme vous pouvez le voir je suis originaire de France. J'ai 24 ans en effet je suis né(e) le premier décembre à Toulouse. Je suis tellement adorable que je suis veuve. Dans la vie, je m'amuse mais aussi je travaille en effet je suis interne en chirurgie. Je me plais sur cette île, ou du moins j'en donne l'impression. Cela fait deux mois que je suis à Efaté c'est pour ça que je suis du groupe up with the birds. Ah et bien entendu j'ai un air de ressemblance avec Isabel Lucas
Entre toi et moi
ET VOUS? Alohaa. Jm'appelle Roxy, j'ai dix-neuf ans et c'est grâce à Bibou (Twain) que j'ai connu ce forum, standing inovation! J'pense pouvoir me connecter tous les jours, au moins pour vous faire un petit coucou. Et sinon... Ca m'paraît honnête pour un premier contact. Ce sera tout, pour le moment!
Dernière édition par Astrid-Briséïs De Bazaux le 04.06.12 10:53, édité 7 fois
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 9:13
« Dieu nous a placés dans ce monde merveilleux pour y être heureux et jouir de la vie » ; celui qui a écrit ça était un con. Dieu n’existe pas, sinon il ne laisserait pas les gens souffrir ainsi. Il ne me laisserait pas souffrir. Egoïste, moi ? Oui, je le suis, mais je pense que tout le monde est égoïste, si on pouvait donner sa douleur, sa souffrance à quelqu’un d’autre, tout le monde le ferait, c’est sûr. J’envie ceux qui n’ont aucun problème, qui ne donneraient pas leur douleur car ils n’en ont pas. Je voudrais être comme ça, je voudrais être comme tout le monde, ne pas être comme ça, mais ce n'est pas le cas.
extrait du journal d'astrid-briséïs.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ? Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ; tu sèmes au hasard la joie et les désastres, et tu gouvernes tout et ne réponds de rien. Astrid-Briséïs De Bazaux. Allons danser, faire semblant d'être heureux, t'façon l'apocalypse est pour bientôt. Crever à vingt-quatre ans ne m'effraie pas, l'au-delà ne peut qu'être désirable. Rien ne peut être pire que cette chienne de vie dans laquelle on se débat chaque jour. L'élégance française m'a abandonnée dès mon premier souffle, je n'ai plus que mes origines pour me convaincre que je suis humaine. Que Toulouse est la ville qui m'a accueillie et virée à la fois. Que je suis de cette terre. Humaine et tellement seule, j'erre comme une âme en peine. Les flammes de mes pupilles éteintes, la peau blafarde. Je lutte. Je lutte contre la vie qui va qui vient, puis qui s'éteint. Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient mais qui tient pas. Malgré tout je repars à la lutte, contre les gravités qui nous mènent à la chute. Ayant pour seul base l’instinct de survie, je laisse ma vie se détruire peu à peu. Ici pas de lutins ni de happy end. Simplement la vie d'une femme brisée.
Il suffira d'un signe, un matin. Selon une légende, il est un oiseau qui ne chante qu'une seule fois de toute sa vie, plus suavement que n'importe quelle créature qui soit sur terre. Dès l'instant où il quitte le nid, il part à la recherche d'un arbre aux rameaux épineux et ne connaît aucun repos avant de l'avoir trouvé. Puis, tout en chantant à travers les branches sauvages, il s'empale sur l'épine la plus longue, la plus acérée. Et, en mourant, il s'élève au-dessus de son agonie dans un chant qui surpasse celui de l'alouette et du rossignol. Un chant suprême dont la vie est le prix. Le monde entier se fige pour l'entendre, et Dieu dans son ciel sourit. Car le meilleur n'est atteint qu'aux dépens d'une grande douleur... Ou c'est du moins ce que dit le légende. J'en étais venu à tant de romantisme et de faiblesse que c'en était affligeant. L'indépendance qui m'avait possédée dix-neuf ans durant se trouvait effacée sans ménagement. Écartée, dégagée, réfutée au plus profond de moi-même telle une vulgaire idée. Mais curieusement, l'idée me plaisait. Le sadisme dont je faisais preuve m'arracha un sourire dépité. Romantique. Astrid-Briséïs De Bazaux se mettait au romantisme. A l'eau pure et aux roses blanches. Au doux chant de l'alouette et au crépuscule sanglant. Pourquoi pas. Et dire que tu t'étais promis de ne pas changer pour un homme. Le fossé entre ce que l'on dit et ce que l'on fait est terrifiant. Un abîme béant à la gueule ouverte et aux mâchoires acérées. Je n'avais pas changé pour cet homme. Mon homme. Je m'étais simplement découvert une facette inconnue. Adieu la garce insensible qui s'enterre dans sa propre solitude. J'étais une autre femme, quelqu'un de vivant. Je respirais enfin à plein poumons l'air extérieur, ressentais le sang qui circule dans mon corps. Le contraste était flagrant, horripilant pour certaines personnes. Hop, un tri dans les amis de fait, c'est déjà ça de pris. « Tu m'aimes? » Putain, bien sûr que je t'aime. A en crever. Je t'aimerais encore lorsque ma carcasse pourrira sous terre, faisant le festin des insectes. Je t'aimerais encore lorsque ne perdurera sur cette terre que de simples souvenirs. Je t'ai dans la peau, je n'te quitte plus. C'est une promesse que l'on s'est faite et que je me sentais puissante à tenir. Je t'embrasse pour te forcer au silence. Ne me pose plus des questions pareilles, j'ai mal. J'ai mal car ça sous entend que tu doutes, que je ne remplis pas mon rôle comme il se doit. Laisses moi m'imprégner de ton odeur, des courbes de ton corps. Laisses moi me dire que nous deux c'est pour la vie baby. Laisses moi te posséder et t'aimer comme une ratée, comme si c'était mon unique raison de survie. Laisses-toi faire, fais moi confiance. Je ne ferais pas les mêmes erreurs du passé, je me donnerais corps et âme pour que tu me souries, pour avoir la certitude que tu es heureux. Laisses nous faire...
« Je n'arrive pas à croire que toi, tu as fait ça. » Rougissante, se tortillant comme une adolescente transie, je respirais le bonheur. Après des fiançailles ayant durées presque deux ans, je me trouvais enfin unie à l'homme que j'aimais. J'étais sienne, il était mien, nous étions notre. Pour le meilleur et pour le pire, je le jure. Un sourire niais illuminait mon visage tandis que nous arpentions les couloirs aseptisés de l'hôpital, dossiers en main. Oui, je prenais conscience de l'étendu de ma chance, de mon bonheur, de ma réussite. J'avais à mes côtés l'homme le plus merveilleux qu'il m'ait été donné de rencontrer. J'achevais mes études pour pouvoir enfin exercer en professionnelle. Mon cadre de vie était idéal. Équilibré. Si j'en éprouvais de la satisfaction, j'en ressentais néanmoins un léger malaise. Qui a dit qu'une telle euphorie était possible sans sacrifice? Comme une fatalité, un coup du Destin, je pressentais que quelque chose de grave allait se dérouler. Ici, sous mes yeux. J'en serais même la pièce maitresse. Mais comment? Je l'ignorais encore. Mais j'allais tout perdre. Pour toujours. Je m'étais assoupie dans une chambre prévue à cet effet. Mes heures se succédaient, toujours plus nombreuses, plus intenses et épuisantes. Je ne savais plus où donner de la tête, il y avait comme un millier d'étoiles qui dansaient devant mes yeux. Vaincue, vidée jusqu'à la dernière goutte, je m'étais plongée dans un sommeil de plomb, vide et de chute infinie. Au loin, un lourd bip en continue interpela mon esprit engourdie. Oh et puis merde, laissez moi dormir un peu, je n'en peux plus. Puis une voix lointaine s'éleva, tandis que l'on me secouait comme un vieux prunier. « Astrid je t'en prie réveille-toi, on a une urgence! C'est vital! » Maugréant contre ce sommeil paradisiaque interrompu, je me levais bon gré mal gré et suivis mon amie à travers couloirs aux odeurs toujours plus identiques. « Quel est le cas? Pourquoi tu ne me réponds pas? » Les battements de mon cœur s'accéléraient dans ma poitrine, le bruit de mes pas résonnaient à mes tempes, symptômes annonciateurs d'une catastrophe. Tenue, préparation psychologique et physique. Notre victime arriva sur un brancard, l'abdomen trempant dans du sang, les tripes mises à l'air. Même s'il m'était donné de voir des scénarios toujours plus effrayants les uns que les autres, je retenais un haut-le-coeur à la vue de ce pauvre homme. « Tobias Jon De Bazaux, avocat de renommé, blessé par de multiples coups de couteau portés sur l'abdomen, il a perdu énormément de sang, et... » Tout autour de moi devenait flou, vague, comme dans un rêve. Tobias, mon mari, mon amour se tenait là sous mes yeux hagards, le corps en lambeau et son âme le quittant peu à peu. Si je n'assimilais pas la situation pour le moment, mes nerfs tenaient le coup pour deux. Je n'avais qu'un objectif actuel: tout donner, jusqu'à ma propre vie pour le sauver si je le pouvais. Le temps pressait. Déboulant dans le bloc opératoire, chacun s'occupa de la tâche qui lui était propre. Une main se posa sur mon épaule. Jackson. Mon supérieur. « Es-tu sûre que ça va aller? Tu as le droit de rentrer chez toi, et de nous laisser porter ce fardeau. » Je secouais la tête, en proie à un professionnel et un sang-froid exemplaire. « Je refuse de vous l'abandonner. Il a besoin de moi. Pour le meilleur et pour le pire. » Et ainsi débuta l'opération la plus longue de toute ma carrière. Cinq heures durant nous avons analysé, arrangé, soigné, prié. Je m'exécutais comme un automate, ne laissant que ma fibre professionnelle s'exprimait, refoulant tout sentiment, me bridant le cœur à tenir le coup. Puis... Plus rien. Plus de pic de vie, plus d'agitation. Rien. « Heure du décès... 4h42. On remballe. » Le visage vide d'expression, le regard tremblant fixé sur les traits de l'être aimé qui n'était plus. La fatalité que j'avais pressentie le jour auparavant. La cruauté du Destin qui sépare les gens qui s'aiment. Les jeunes couples plein d'avenir, de projets. Notre avenir, nos projets. Comme une verrerie qui se brise, mes nerfs lâchèrent leur emprise sur moi et je m'effondrais. Appelant Tobias comme une possédée, me démenant à insulter les dieux de me l'avoir enlevé. Criant, pleurant, déchirant l'air de mes lamentations. Non, la vie était injuste, elle n'avait pas le droit. Il était à moi, et à moi seule, seule moi pouvais décider du chemin que devait prendre sa vie. Pas la Mort. Épuisée de douleur, brisée par un somnifère et un calmant, je m'endormais dans les bras du néant. Seule. Terriblement seule.
Dernière édition par Astrid-Briséïs De Bazaux le 07.06.12 10:17, édité 13 fois
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 9:14
Un matin, et tu n'es plus là. Un réveil rempli d'effroi et de peur. Mon corps se glace, mon sang se fige. Jamais encore je ne m'étais préparée à une quelconque séparation, même s'il s'était agit d'un court trajet. Je cherchais. Comme un chien errant, un damné à la recherche de son âme. J'étouffais, l'oxygène me manquait. Je n'étais plus prête à ça. Je n'étais pas prête à vivre sans lui. Lui. « Je suis tellement, tellement désolée pour ce qui est arrivé... Toutes mes condoléances. Personne ne mérite de vivre ça. » Putain, lâchez-moi, laissez moi crever en paix. J'en ai rien à foutre de ce que vous pensez. J'en ai rien à branler de savoir si quelqu'un mérite ça ou non. Je le veux. Ici, maintenant, tout de suite. Je n'peux pas croire qu'il m'ait fait une chose pareille. Qu'il m'abandonne sur cette terre, livrée à moi même, n'ayant plus que son nom, son alliance et ma mémoire pour me rappeler que je suis veuve. Ça fait un mois que j'suis pas sortie ou que j'ai pas vu quelqu'un. Une semaine que je ne mange plus rien, me calant le bide avec des malboro. J'ai le corps détruit par la nicotine, mais plus ne m'atteint. J'ai mal à la tête, mal au cœur, mal partout. Comme si je me déchirais de l'intérieur, que l'on me triturait au bistouri. Quoique, la douleur n'en serait que plus faible. J'ressens plus rien t'façon, juste cette envie de gerber permanente. « Astrid, tu sais que je suis là si tu as besoin de parler. Je serais toujours là pour toi, quoiqu'il arrive. T'en fais pas, avec le temps, la douleur s'estompera. » Dégages. Allez-vous-en, toi et tes mensonges. J'en peux plus, j'étouffe. Pourquoi est-ce que cela m'arriver à moi? J'en peux plus de cette situation, j'voudrais partir. Je sais pas où, loin, far far away. Mais j'y arrive pas. J'y arrive plus, à rien. J'suis comme un oiseau à qui on aurait brisé les ailes, comme une rose privée de ses pétales. Je ne brille plus, je n'avance plus. Je n'y arrive pas, pas sans toi. Je prie tous les jours pour que tu reviennes, pour que tout ceci ne soit qu'une mauvaise blague en fin de compte. Rien. Chaque jour se passe, identique, et rien ne change. Accompagnes moi au Vanuatu, je t'en supplie. Guettant l'ombre d'une réponse, l'effleurement d'un signe, j'attendais deux semaines de plus avant de capituler et de faire mon deuil à jamais. Je devais me faire à l'idée, et continuer à avancer. Sans lui. « Il ne reviendra pas. Jamais. Alors je t'accompagne, Jackson. »
Dernière édition par Astrid-Briséïs De Bazaux le 07.06.12 10:16, édité 2 fois
“ Aidan Caulfield „
♦ messages : 896
♦ Date d'inscription : 24/03/2012
♦ Avatar : James Franco
♦ statut Civil : célibataire
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: 29 ANS ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: Héritier et gérant d'une chaîne hôtelière de luxe ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 10:32
Isabel Lucas, ton nom, ton titre, 'veuve' (oui parce que j'ai une fixette là-dessus ) … J'hésite entre le coup de foudre et la crise cardiaque
En tout cas, sois la bienvenue ici et n'hésite pas à contacter le staff si tu as la moindre question adresse-toi surtout à moiiii
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 10:42
je t'autorise à avoir les deux, Isabel n'en mérite pas moins. en tout cas merci pour l'accueil et je retiens, tu seras le premier contacté si j'ai le moindre problème ça motive à avoir pas mal de soucis tout ça! et réserve moi un lien.
“ Aidan Caulfield „
♦ messages : 896
♦ Date d'inscription : 24/03/2012
♦ Avatar : James Franco
♦ statut Civil : célibataire
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: 29 ANS ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: Héritier et gérant d'une chaîne hôtelière de luxe ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 10:46
Je te réserve tout ce que tu veux, mon nom de famille y compris
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 10:49
je vais finir par te prendre au mot. james oblige.
“ Georgie G. Hawkins „
♦ messages : 215
♦ Date d'inscription : 28/04/2012
♦ Avatar : Evan Peters
♦ statut Civil : Célibataire
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: 19 ans ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: étudiant en sciences maths ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 12:38
AIDAN COUCOUCHE PANIER !
Bienvenuuuuuue et bonne chance pour ta fiche.
“ Hurts like Heaven „
♦ messages : 843
♦ Date d'inscription : 14/03/2012
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 12:43
Bienvenue parmi nouuuuus
ton prénom
j'adore le début de ta fiche
“ Charlotte J. Heathford „
♦ messages : 585
♦ Date d'inscription : 31/03/2012
♦ Avatar : kirsten dunst
♦ statut Civil : célibataire
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: 27 ans ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: biologiste ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 19:06
Ce prénom est absolument magnifique **
Bienvenue sur le forum
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 04.06.12 21:05
EVAN, mon dieu. merci à tous, vous êtes des amours.
“ Twain Aslvik-Ström W. „
♦ messages : 74
♦ Date d'inscription : 06/05/2012
♦ statut Civil : célibataire.
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: vingt-sept ans ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: mécano d'aéronefs ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 05.06.12 9:29
ohh mon petit bébé, trop chouette que tu sois là. Isabel, excellent choix! mille fois bienvenue.
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 07.06.12 9:28
merci mon chaton.
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 07.06.12 10:17
pardon du double post mais j'ai fini les loulous.
“ Aidan Caulfield „
♦ messages : 896
♦ Date d'inscription : 24/03/2012
♦ Avatar : James Franco
♦ statut Civil : célibataire
MON PASSEPORT ♦ ÂGE: 29 ANS ♦ À PART BRONZER, J'AI UNE AUTRE OCCUPATION: Héritier et gérant d'une chaîne hôtelière de luxe ♦ MÊME AU MILIEU DE L'OCÉAN, MON PORTABLE FONCTIONNE:
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 07.06.12 10:34
Ta présentation est superbe Je te valide **
“ Astrid-Briséïs De Bazaux „
♦ messages : 28
♦ Date d'inscription : 04/06/2012
♦ Avatar : isabel lucas.
♦ statut Civil : veuve.
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson. 07.06.12 11:00
merci beaucoup.
“ Contenu sponsorisé „
Sujet: Re: ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson.
ASTRID Ҩ comme un poison, je nous parcours à l'unisson.