Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées
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Sujet: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 19:59
Lukàs-Naël Hermes
Bonjour à tous, moi c'est lukàs-naël hermes, comme vous pouvez le voir je suis originaire de vanuatu. J'ai 24 ans en effet je suis né(e) le 14 février 1988. Dans la vie, je m'amuse mais aussi je travaille en effet je suis vendeur dans un magasin de planche de surf Je me plais sur cette île, ou du moins j'en donne l'impression. Cela fait 24 ans que je suis à Vanatu c'est pour ça que je suis du groupe beautiful world. Ah et bien entendu mon avatar est francisco omfg lachowski
Entre toi et moi
prénom/pseudo: Amandine âge: 17 ans pays: Belgique où as-tu découvert le forum? Bazzart fréquence de connexion: 7/7 usuellement Autres? Je vais rocker vos fesses
Dernière édition par Lukàs-Naël Hermes le 26.03.12 22:04, édité 3 fois
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 19:59
Vivre c'est expérimenter, et non penser au sens de la vie.
C'est pas l'homme qui prend la mer. C'est la mer qui prend l'homme. Mon père venait de me tendre une planche de surf à ma taille. Il fallait dire que quand je jouais avec la sienne il n'était pas très content, puis elle était tellement longue que j'avais du mal à la déplacer. « Viens mon bonhomme, il est temps pour toi de devenir un homme. » Il passa alors sa main dans mes cheveux les ébouriffant chaleureusement alors que ma mère nous regardait attendrie. « On dirait qu'il s'agit d'une journée entre homme... Attends Lukàs, j'ai un petit cadeau pour toi mon petit Lukàs-Naël à moi. » Posant ma planche contre la voiture de mon père, je m'approchais de ma mère qui s'était agenouillé devant moi. Il fallait préciser que je n'étais pas très grand du haut de mes quatre ans, mais ma mère me disait sans arrêt que c'était normal. Avec le temps j'allais devenir aussi grand et fort que mon père et j'avais bien du mal à cacher mon impatience. Je veux être un homme moi ! Un vrai, un homme fort et musclé qui fait tomber toutes les filles comme ça je me trouverais une amoureuse aussi belle que maman. Plongeant mon regard chocolaté dans les yeux pleins de verdure de ma mère, je souriais largement alors qu'elle me tendait un petit paquet agrémenté d'une carte pour mon anniversaire. Ouvrant la carte, j'y lu un petit mot écrit par ma mère et des commentaires provenant de mes grands parents. Ayant laissé le paquet dans les mains de ma mère, je la sentis passer quelque chose autour de mon cou alors que je relevais les yeux vers elle : « Tu es un homme désormais, il était temps qu'on t'offre enfin le tien. » Passant mes doigts sur le pendentif que j'avais désormais autour du cou, j'y reconnaissais le pendentif que mon père et que mon grand-père avaient depuis toujours. Sans avoir eu à voir le collier, je savais déjà qu'il était fait d'une lanière usée de cuir qui pourtant résistait à tout ainsi que d'un pendentif en os représentant une vague. Me jetant au cou de ma mère, je l'embrassais sur les joues des centaines de fois en la remerciant avant que mon père ne grogne face à ces effusions trop sentimentales pour lui. Le suivant sans broncher, j'étais excité comme une puce, prêt plus que jamais à avoir ma première leçon de surf.
Enfant, je vivais, je ne pensais pas au sens de ma vie. J'avais envie d'aller à la plage, je chevauchais mon vélo et je me rendais à la plage la plus proche. J'avais envie d'une glace, j'allais me la chercher dans le frigo. Ma vie était simple, ma vie était belle et ce même si mes points à l'école étaient loin d'être bon. Je devais bien avouer que je ne m'intéressais pas fort à l'histoire, les cours de langues m'ennuyaient à mourir et je n'étais pas doué en mathématiques. Au fond, la seule chose qui m'intéressait véritablement c'était le surf et plus je grandissais, plus le surf prenait une part importante dans ma vie. J'y pensais sans arrêt, le matin je regardais la météo en espérant que ça serait une journée propice pour attraper la vague parfaite. C'est ainsi que je fus repéré à mes quinze ans. Un homme promouvant une équipe de surf était venu se reposer sur l'ile, prendre des vacances, prendre son temps. Il me vit alors qu'il était en train de bronzer, je ne savais pas trop bien pourquoi il m'avait retenu moi, mais il m'adressa la parole. Ne parlant pas aux inconnus je rentrais chez moi en l'ignorant, toutefois il revint à la charge parlant à mes parents cette fois. Il m'expliqua longuement ce que ma vie allait devenir si je le suivais, les contrats, les pubs, les marques de vêtements, les lignes de surf à mon effigie. Il me vendit du rêve, mais surtout il a dit une chose que je pense ne jamais pouvoir oublier : « Mon garçon, dans la vie on est tous fait pour quelque chose. On a notre place dans ce monde aussi grand soit il, et toi ta place est sur une planche de surf autant que la mienne est derrière un bureau. Ne regrette pas ta vie comme je la regrette car je n'ai pas su prendre ma chance. » Bien vite un contrat fut signé, bien vite j'allais en Australie m'entraîner, bien vite je fis parti du championnat junior, bien vite je montais en première place, bien vite ma vie fut bouleversée, bien vite je n'eu plus aucun repère, bien vite j'ai réalisé tous mes rêves. Néanmoins, pour cela j'ai laissé ma famille derrière moi, mes amis d'enfance et plus que tout, j'ai laissé Ruth. Je pense que je ne me le pardonnerai jamais, de toute manière elle ne me le pardonnera pas.
Les hommes rêvent du retour plus que du départ.
Help I'm drowning. La mer était trouble, le temps semblait tourné, assis sur ma planche, j'attendais le départ du chronomètre afin de commencer ma session et de récolter le plus de points possible pour mon classement dans le championnat. Depuis mes quinze ans j'avais été emporté par une marée qui me dépassait. Je m'étais laissé avaler par la vague, allant de séances de signature à compétitions, de compétitions aux tournages de spots publicitaires sans jamais plus avoir eu de temps pour moi. Néanmoins, par moment je me sentais encore chez moi. Que ça soit sur les plages de Nouvelle-Zélande, d'Australie où de partout ailleurs autour de cette planète, une fois dans l'eau, installé sur ma planche je retrouvais un peu de ma vie, de mon pays, de mon ile. J'avais bien grandi depuis Port Vila, j'avais bien changé aussi, je devais l'avouer. Je n'étais plus le garçon turbulent qui rêvassait sur les bancs d'école en espérant que le temps passe plus vite afin de retrouver la mer. Non, la mer je la côtoyais en permanence, ma mère, un peu moins. Passant une main dans mes cheveux, j'entendis qu'on donnait le départ, attendant la vague parfaite, celle qui pouvait m'emmener loin, me traîner jusqu'à la victoire, j'en laissais une et puis deux, appuyant sur ma planche afin de passer en dessous de ces dernières. Tout ça me semblait tellement naturel, j'aurais pu être dans ma ville avec mon père en train de me regarder depuis la plage que ça n'aurait pas été différent. Toutefois, j'entendais encore le crépitement des flashes d'appareils photos, les personnes agglutinées là pour me voir, moi, le gars qui avait eu la première place cinq fois de suites. J'étais un peu une légende dans le monde du surf et malgré mes vingt-deux années et ma jeunesse, j'étais aussi aguerri que des surfeurs bien plus vieux. Ma chambre d'enfant était encore couverte des posters de surfer que j'affrontais désormais. Le temps avait glissé, filé entre mes doigts sans que je ne le sente s'en aller, s'effriter et disparaître au gré des vents. Sentant que la prochaine vague était la bonne, je positionnais ma planche dans son axe avant de sauter sur mes pieds. Faire du surf c'était un peu comme de vivre. Il faut prendre le train en marche, attraper le taureau par les cornes et se lancer, on peut hésiter, mais une fois face au mur il faut se décider, se lancer au risque de s'égratigner si on est pas assuré, ou alors se rétracter et attendre la prochaine vague sans savoir combien de temps elle prendra pour venir. Mes pieds sur mon surf, je frôle la vague de ma main me laissant avaler par le tube qui s'écrase derrière moi dans un tourbillon plein d'écume. J'avais confiance, je savais ce que je faisais, je tentais une figure compliquée, allant frôler le ciel du bout des doigts avant de me rattraper sans mal une fois ma planche retrouvant la vague. Reprenant ma course, je vis que le chronomètre ne me laissait guère beaucoup de temps. Attaquant une autre figure, je sentis un instant trop tard que j'étais dans le faux. Déjà ma planche repartait dans les airs alors que mon corps semblait attirer par le fond. Rencontrant la surface de l'eau dans un impact violent, je sentis mon dos s'écraser durement contre le fond marin alors que le tourbillon que la vague provoquait m'avalait sans mal. J'étais un pantin sans files, une poupée désarticulée qui se pliait au gré de l'enfant impatient et inconstant qui le tordait dans tous les sens. Ma colonne vertébrale était faite de papier mâché, mes bras semblaient ne plus être relié à mon corps et, incapable de lutter contre la douleur. L'espace d'un instant j'ai cru mourir, vraiment. L'eau s'est infiltrée dans mes poumons incrustant douloureusement sa trace salée dans ma gorge alors que je suffoquais. La mer qui avait toujours été mon amie, ma plus proche confidente venait de se retourner contre moi. Je la sentais m'attirer vers le fond alors que j'étais incapable de remonter à la surface. Tentant vainement de battre des pieds et des jambes, mes membres ne répondant pas, je glissais vers l'inconscience en pensant à ma ville, mon pays. Je repensais à mes escapades au bord de l'eau avec Ruth, à notre amitié aussi brève et marquante qu'une éclipse vous cachant le soleil. Je repensais à mes sentiments pour elle, tout ce qu'on s'était dit, ce qu'on ne se disait plus. Alors que j'épuisais mes dernières ressources d'oxygène j'espérais qu'elle pourrait me voir, qu'elle pourrait voir à quel point j'avais brillé et non la manière dont j'étais en train de sombrer...
Ce n'est que des mois plus tard que je vis la vidéo retraçant ma montée au sommet ainsi que ma chute, cette dernière reprenant les instants où on me sortit de l'eau avant de m'emmener sur un brancard. J'étais pale, ma bouche laissait s'échapper de l'eau, du sang s'échappait de mon flanc où, semble-t-il, un coquillage avait déchiré ma peau. Je ne vis rien de l'histoire qui expliquait mon arrivée à l'hôpital, ce qu'on me fit dans l'ambulance, ni comment réagir mes parents qui à l'autre bout de la planète apprirent quelques heures après l'accident que leur fils unique allait certainement être paralysé à vie.
Quand on ne peut revenir en arrière, on doit se préoccuper de la meilleure manière d'aller de l'avant.
Nothing is as it has been Le réveil fut dur, le retour à la surface encore plus. Il m'arrive encore d'avoir l'impression d'être sous l'eau, incapable de respirer, pétrifié. Mon psychologue me dit qu'il s'agit juste de crise de panique, que ça va passer, j'ai peur et si ça ne passait pas ? Je suis de retour chez moi, j'ai l'impression que le monde a changé, les touristes sont partout, je ne reconnais quasiment plus aucun visage, j'en ai passé des journées enfermés dans la maison familialle à tourner en rond sur mon fauteuil roulant, à marcher à l'aide de mes béquilles. La rééducation fait des miracles. Après avoir attendu de long mois à l'hôpital un diagnostic pour ma paralysie, les médecins s'étaient accordés sur le fait que cette dernière n'allait pas être permanente. Il allait néanmoins falloir me rééduquer. Tout comme j'allais devoir réapprendre à vivre sans les médias, sans le surf, sans ma vie sous les feux de la rampe, j'allais devoir réapprendre à marcher, à bouger les bras. S'en ai suivi une année de dure labeur, avec des hauts, mais surtout beaucoup de bas. Des crises de nerfs de ma part face à ce corps qui ne répondait pas. Face à cette prison de chair qui m'empêchait de vivre comme je l'entendais, qui m'empêchait de profiter du monde extérieur, de la brise marine, de la mer. Un suivi psychologique me fut en plus imposé, afin de s'assurer que j'assurais le choc, que j'étais capable d'avaler doucement l'énorme pilule que représentait ma nouvelle vie. J'ai eu du mal. J'ai souvent eu l'impression que le monde s'était ligué contre moi. A croire que j'étais un enfant qui était passé du jour à la nuit. C'est un peu ce que j'étais, j'étais un enfant perdu au milieu de la vie, perdu au milieu de la nuit à me demander si le soleil allait oui ou non se relever un jour. Petit, petit, après des heures de dure labeur, mes bras ont fini par me ré obéir. Je fus capable de m'alimenter seul, capable de me déplacer en chaise roulante. Je n'avais plus la lourde et douloureuse tâche de subir la pitié de chaque personne qui me croisait cloué immobile et pétrifié à jamais dans mon lit. Non, je me déplaçais, je respirais, j'arrivais enfin à voir le bout du tunnel bien que je n'étais pas encore à la fin.
Je suis revenu il y a un mois et demi. D'abord honteux, je me suis caché dans la maison de mes parents. Ensuite, je me suis acheté un appartement et désormais je vis seul. Désormais j'avance, je ne peux pas changer le passé, même si je le voulais je ne le pourrais pas. Je ne l'ai pas encore totalement accepté, mais je commence à vivre avec. Je commence à avancer, à sortir, m'aidant encore de mes béquilles pour me déplacer. Le regard que me porte le monde extérieur me pétrifie, j'ai encore un peu du mal, c'est pourquoi parfois je fais des crises d'angoisses. Mais je vis. C'est fou à dire mais : « JE VIS » et bordel ça fait un bien fou. Alors, j'oscille peut-être constamment entre la dépression nerveuse et la crise de joie, mais petit à petit, je retrouve le soleil et vous qui ne savez pas ce que c'est d'entrevoir l'obscurité, je peux vous jurer qu'il n'y a rien de mieux pour vous donner envie d'avancer.
Dernière édition par Lukàs-Naël Hermes le 26.03.12 22:02, édité 7 fois
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:03
Bienvenuuuuuuue parmi nouuuuus J'adore ton pseudo et ton avatar
si tu as la moindre question n'hésite pas!
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:05
Emmaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Je te retourne le compliment, les deux chez toi c'est de la bombe
Merci
“ Hurts like Heaven „
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:11
tu me réserves un lien
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:12
Plutôt deux fois qu'une
“ Aidan Caulfield „
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:15
Chicooo ahhw
Bienvenue ici, et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:16
Oh James, quel choix orgasmique
Merci
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:39
GOD LACHOWSKI + TON PSEUDO Bienvenue parmi nous, et good luck pour ta fiche
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 20:44
FRANCISCO un lien s'impose :arrow: bienvenue
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:03
Siloë choix de fou malade avec Tonkin
Méziane bien sur qu'un lien s'impose
Je pense pouvoir dire que j'ai fini ma fiche
“ Aidan Caulfield „
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:30
Tu écris merveilleusement bien o_ô Je te valide avec grand plaisir
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:31
Gosh, tu vas me faire rougir
Merci (j'ai le droit d'avoir la même cape? stp stp stp stp )
“ Aidan Caulfield „
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:35
Ah, ça, tu dois la mériter avant
(j'aime les grands discours à mon honneur, les massages de pied et qu'on soit mon esclave sexuel, tu as le choix)
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:36
Je vote pour l'esclavage sexuel c'est le moins éreintant
“ Aidan Caulfield „
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées 26.03.12 22:39
ça c'est ton point de vue
Je te permets donc d'avoir une cape, et d'aller rescencer ton avatar aussi
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Sujet: Re: Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées
Lukàs-Naël Δ Justement au moment où j'avais réussi à trouver toutes les réponses, toutes les questions ont changées